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La Légion étrangère : Les coulisses d'une école d'élite

Au sein de l'armée, on le surnomme le «régiment des fortes têtes». Au 4e Régiment étranger (RE), le creuset de la Légion étrangère, l'engagé volontaire apprend rapidement qu'il n'intègre pas une institution ordinaire, mais sa nouvelle patrie. C'est d'ailleurs ce que proclame sa devise : Legio patria nostra.

Ils sont 6.400 à composer ce corps d'élite. Originaires pour la plupart de pays étrangers, ils ont laissé derrière eux des vies plus ou moins cabossées. Comme Cazin, qui aurait pu mal tourner et qui a vu dans la Légion une échappatoire à un destin mal engagé. Ou comme l'Italien Marco, dont la vie «allait exploser», selon ses propres mots... Beaucoup de ces hommes viennent à la Légion en quête d'une seconde chance.

UN CORPS SOLIDAIRE ET UNI.

La sélection est rude : seul un candidat sur huit est retenu, après des tests physiques, médicaux, psychologiques et de sécurité. Une fois ces épreuves réussies, les recrues signent un contrat d'engagement de cinq ans et séjournent pendant un mois dans l'une des quatre fermes vouées à la formation initiale, à proximité de Castelnaudary dans l'Aude. Ce sont leurs premiers pas dans la Légion étrangère. On va leur y enseigner le français, le code d'honneur et, surtout, leur apprendre à constituer un groupe dans lequel la cohésion et la solidarité règnent en maîtres.

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