Facebook login

Une partie d’airsoft, une fausse guerre pour de « la vraie adrénaline »

L'association Phalanx Airsoft est un véritable exemple à suivre. A travers les lignes du journal Le Progrès, ils s'expriment sur notre activité, l'airsoft, pour chasser la mauvaise image qu'elle renvoie.

L’équipe des Phalanx. Photo : Clément Goutelle

Dès le petit matin, direction Balbigny, pour une partie d’airsoft avec l’association Phalanx Airsoft. Ce jeu peu connu consiste en une simulation de guerre plus ou moins réaliste. « L’airsoft c’est un peu le jeu des gendarmes et aux voleurs en version adulte. C’est un jeu sportif dans un cadre sympa. Pour nous, c’est un peu une partie d’échecs dans la nature. On favorise l’esprit d’équipe et on a un très fort esprit associatif », précise Fabien alias Waza, président de l’association Phalanx Airsoft.

Tout le monde utilise des pseudos car « c’est plus facile à retenir et ça ajoute une part de fantaisie à la partie ». Car l’imagination est au cœur du jeu comme l’explique Willy, alias Scarff : « On vient tous, ou presque, du jeu de rôle. »

Un scénario digne d’Hollywood
Le scénario du jour est inspiré du film Hunger games. « Nous sommes sur une île déserte. Vous êtes ici car vous êtes des malfrats et le richissime Reinhardt s’amuse à vous regarder vous entre-tuer. » Le cadre est posé. Mais l’île du jour est bien le terrain de trois hectares, situé à Balbigny, dont dispose depuis un an et demi l’association Les Phalanx. Une cabane fait office de fort et le brouillard vient ajouter une part de magie à la partie. Une fois arrivé, chacun sort ses tenues pour le camouflage et ses lanceurs à billes qui sont des répliques exactes d’armes existantes. Une vingtaine de joueurs sont présents pour un panel de 20 ans à 50 ans environ. « La moyenne d’âge des joueurs est de 34 ans. Et ici, il y a un responsable sécurité, des cadres, des commerçants, des chômeurs… L’airsoft réunit tous les milieux sociaux professionnels », apprécie Tan, alias Kina.

« On défend un airsoft responsable »

Pour lire l'article complet, rendez-vous sur : leprogres.fr

 

 

Source : leprogres.fr