Speedsoft
Comment ? Ils ont changé le nom de l’airsoft ? Non, c’est juste qu’il y a de nombreuses manières de s’amuser avec ces “engins qui crachent des billes”.
On a trouvé des joueurs de "speed ball" comme ces Japonais. Des parties explosives, avec des objectifs dynamiques. Les airsofteurs peuvent s’habiller comme ils veulent : on peut voir des équipements de tous les types et très travaillés en général.
On a retrouvé des personnes qui jouent au "milsim"... bon, définir le milsim prendrait beaucoup de temps et on partirait sur un débat éternel. Disons, pour faire simple, qu’il faut tenter de reconstituer le plus fidèlement possible un vrai panorama. Ici, les parties et les équipements sont distincts. Les parties les plus longues, avec des scénarios immersifs et des missions consécutives. Les équipements se limitent à ceux des unités reconstituées pendant l’événement.
On retrouve des gens qui jouent au "speedsoft", héritier du grade de "compétition" du paintball. Mais ne le confondez pas avec le paintball des enterrements de vie de garçon.
Ce paintball, c’est le pro. Celui qui a des sponsors, des championnats mondiaux super bien organisés, celui qui a des équipes prestigieuses.
Et cela s’applique à l’airsoft. Comment ? Deux équipes, normalement 5 contre 5, avec plus de modalités. Chaque membre de l’équipe à sa fonction : ceux qui couvrent derrière, ceux qui courent, ceux qui couvrent les flancs… Un peu comme le basket ou le futsal. Et qui luttent pour arriver à 100 points. Comment ? En récupérant le foulard qui est au centre, en éliminant les adversaires, en prenant leur base…
Evidemment il y a beaucoup plus de formes de jeu en airsoft. Rol-Sim, PolSim, parties de zombies, stalkers... Pourquoi nous mettons-nous autant de barrières au lieu de profiter d’une plus grande variété ? Voici ce que l’on en pense :
