Richard: Vous êtes le Sales Manager de VFC et pas des moindres puisque vous êtes un employé de longue date de l’entreprise. Vous êtes même l’un des tout premiers employés de VFC. Alors, qui mieux que vous pour nous parler de cette entreprise ? Est-ce que vous pensez que le fait que les membres de l’entreprise jouent à l’airsoft vous aide à mieux comprendre les joueurs et à leur offrir le meilleur en accord avec leurs besoins ? C’est clair ! Comme tout le monde le sait, VFC a débuté sur le marché avec des répliques réalistes, tels que le silencieux SOCCOM, le MWS de KAC et quelques carcasses de grenades. Pourquoi ? Parce qu’il n’existait pas de répliques assez réalistes de ces modèles à l’époque. VFC a fait ses premiers pas en élaborant le matériel le plus réaliste possible pour les airsofteurs. Comme à Taïwan, de par la législation en vigueur, il nous est impossible de nous procurer des armes réelles, nous voulons vraiment que notre matériel soit le plus réaliste possible, depuis la taille jusqu’aux marquages, en passant par les accessoires… Tous ces détails qui font d’un “jouet” une véritable oeuvre d’art. On peut dire que les produits VFC font leur effet sur le marché, et même que certaines entreprises commencent à suivre ses traces. Une fois que les fusils complets ont été lancés à la fabrication, la haute qualité de nos répliques est devenue non-négociable: nous avons tous besoin d’une oeuvre d’art qui fonctionne ! Personne n’a envie d’arriver sur le terrain, de vider les premiers chargeurs et hop, que la réplique lâche d’un seul coup.